Un état des lieux inédit des enjeux et priorités de la transformation numérique des entreprises en 2025
Konica Minolta, acteur majeur des solutions et services informatiques et partenaire clé de la transition numérique en France et dans le monde, présente la troisième édition de son Baromètre de la sérénité numérique 2025. Réalisée avec l’Institut Occurrence (groupe IFOP), l’enquête menée auprès de 500 entreprises françaises décrypte depuis trois ans l’engagement des entreprises, des fonctions stratégiques, Direction Générale, DAF et DSI.
L’édition 2025 se distingue par 2 nouveautés majeures : l’intégration des ETI, en plus des PME, et 4 secteurs d’activité clés : Services, Commerce, Industrie et Construction.
L’étude s’articule autour de deux axes complémentaires : d’une part un zoom stratégique de la transition numérique : perception globale, formalisation des stratégies, défis rencontrés et priorités en matière de ressources. D’autre part, un éclairage opérationnel sur cinq leviers essentiels : cybersécurité, Green IT, facturation électronique, cloud et intelligence artificielle.
Les enseignements clés en 2025 et bien plus encore dans le baromètre complet à télécharger.
- Un haut niveau de sérénité affiché : près de 9 entreprises sur 10 se disent confiantes face au numérique, malgré des inquiétudes persistantes liées à la cybersécurité, à la gestion des données et aux nouvelles réglementations.
- Des freins récurrents : la résistance des collaborateurs au changement (49 %) et les coûts initiaux (45 %) demeurent les principaux obstacles à la transformation numérique traduisant une difficulté à percevoir clairement les bénéfices attendus.
- Un ROI encore flou : 45 % des entreprises ne mesurent pas précisément le retour sur investissement de leurs projets numériques, ce qui limite leur engagement dans de nouvelles initiatives.
- Des bénéfices inégalement perçus : si le gain de temps est unanimement reconnu (61%), d’autres apports comme la fiabilité accrue (36%) ou la possibilité de se recentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée restent moins identifiés.
- Cybersécurité fragile : plus d’une PME sur deux n’a pas encore de stratégie dédiée, exposant les organisations à des risques élevés dans un contexte d’attaques croissantes.
- Les sources de stress sont multiples : en tête, le plan de reprise d’activité en cas d’attaque informatique, mentionné par 4 répondants sur 10. Viennent ensuite la sécurisation des accès distants et la formation des collaborateurs aux nouveaux outils, également identifiées comme des préoccupations majeures.
- La préparation à la réforme de la facturation électronique est en recul : la note moyenne de préparation passe de 2,7 en 2024 à 2,3 en 2025 (sur 5), signal d’un besoin accru d’accompagnement.
- Green IT et IA, leviers sous-exploités : les entreprises plébiscitent avant tout la réduction des coûts et la longévité du matériel, reléguant l’éco-responsabilité au second plan. Quant à l’intelligence artificielle, si 50 % y voient une opportunité, son adoption reste freinée par un manque de compétences internes et une visibilité insuffisante sur le ROI.